12 Mars 2011
C'était par une belle soirée d'été.
La lune par sa douce lumiere nous éclairait.
La chaleur suave de la nuit,
Nous entraîne à commettre l'interdit.
La peur s'était emparés de nous,
Quelqu'un aurait pu nous surprendre.
Notre amour était, un des plus fous,
Mais personne, n'arrivait à nous comprendre.
Je me rapelle encore,
Tes mains qui parcouraient mon corps.
Tes caresses et tes baisers
Qui me conduisaient à la jouissance !
Ses souvenirs, nul ne seraient les effacer,
Tu as su combler mes espérances.
Depuis le chagrin a pris place dans mon coeur,
Lorsque tu es parti rejoindre l'éternel.
Je n'arrive pas à chasser cette douleur,
Mes yeux remplient de larmes, fixent le ciel.
En vain, j'attends que se terminent mes jours,
Pour rallier nos esprits,
Afin de raviver notre amour,
Et te rejoindre au Paradis.